Le projet des halles
↪ Un lieu de vie hybride implanté dans son quartier
Dans un quartier historique de Toulouse, les Halles de la Cartoucherie ont ouvert leurs portes en septembre 2023
Au sein des halles, il vous est tous les jours possible de
faire du sport,déguster,travailler,
faire son marché,lire,participer, expérimenter, flâner dans les multiples espaces.
faire du sport,
déguster,
travailler, 
faire son marché,
lire,
participer, expérimenter, flâner dans les multiples espaces.Projet transdisciplinaire, les Halles rassemblent sur 13 500 m² de nombreux résidents :
Commerçants
Avec des cuisines du terroir et d’ailleurs, café, bar, cave, épicerie, librairie, etc.
Acteurs sportifs
Pour pratiquer l’escalade, le squash, le fitness, le mieux-être.
Acteurs culturels
Pratique artistique, programmation éclectique dans les Halles et dans la salle de spectacles La Cabane.
Espaces de travail
Coworking, salles de réunion et de formation
Acteurs sociaux
Des services dédiés, de l’accompagnement social, de la formation.
Créé en réponse à l’Appel à Manifestation d’Intérêt lancé en 2016 par Toulouse Métropole, le projet des Halles de la Cartoucherie est porté par plusieurs coopératives du milieu de l’économie sociale et solidaire, de la culture, du sport, de la restauration, de l’immobilier.
Le bâtiment des Halles est l’un des derniers ateliers d’un ensemble industriel destiné pendant deux siècles à la production de pièces d’armement pour les armées françaises. Sa réhabilitation a été réalisée par le promoteur Redman et deux cabinets d’architectes : Compagnie Architecture et Oeco Architectes. Le bâtiment a été labellisé NoWatt par la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée qui a apporté un soutien financier de 1,7 million d’euros dans le cadre de son éco-rénovation.
Ouvertes tous les jours de l’année, les Halles proposent des activités de restauration, de sport, des espaces de travail, une salle de spectacles ainsi que de nombreux événements majoritairement gratuits.
Les Halles de la Cartoucherie sont labellisées “lieu totem de Toulouse Métropole”, réseau de tiers-lieux innovants de l’Économie Sociale et Solidaire qui génèrent par leurs activités un impact sociétal positif et contribuent aux transitions économique, sociale et écologique.
Le projet est financé par la Caisse des dépôts et consignations, la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, Toulouse Métropole, Action Logement, le Centre National de la Musique, la Caisse d’Allocations Familiales de Haute-Garonne. Plusieurs organismes bancaires participent à son financement : le Crédit coopératif, les Caisses d’Épargne Midi-Pyrénées et Nouvelle-Aquitaine, la Banque Postale, le Crédit Mutuel Arkéa, la NEF et l’IFCIC.
Le manifeste
des Halles de la Cartoucherie
Les Halles de la Cartoucherie rassemblent les acteurs territoriaux du sport, de la culture, de la restauration et de l’action sociale, pour répondre autant à des envies locales qu’à des enjeux globaux de la transition sociétale et environnementale.
Dès aujourd’hui nous construisons un modèle qui rassemble tous les imaginaires et forces vives du territoire, non pas en se juxtaposant mais en coopérant. Le défi désormais, au travers de nos missions et des formes de rencontres entre opérateurs, publics et habitants, est de continuer à transmettre nos valeurs, permettre l’engagement des citoyens, poser les enjeux pour que la culture soit celle de toutes et tous, construire de nouvelles manières de faire et d’agir ensemble et rechercher l’égalité dans les relations. En somme, être à l’échelle du territoire le pionnier d’un exercice du commun, un lieu global qui au travers de ses propositions apporte des réponses à notre société, sans jamais oublier de ré-insuffler plaisir et bonheur ici et maintenant, ce qui à notre sens, est essentiel.
Lutte pour l’égalité
Les Halles de la Cartoucherie portent comme mission la lutte pour une égalité d’accueil et de traitement, quels que soient son genre, son origine, son handicap…
La mission s’est construite autour d’une volonté de répondre collectivement aux enjeux sociaux en luttant contre toutes formes de violences et d’inégalités systémiques qui peuvent traverser nos secteurs d’activités : la culture, le sport et la restauration.
